Politique




La Guinée équatoriale et l’OIT renforcent leurs  liens de coopération

Le gouvernement équato-guinéen et l’organisation internationale du travail entendent travailler ensemble dans le cadre de la mise en œuvre d'un…

Le gouvernement équato-guinéen et l’organisation internationale du travail entendent travailler ensemble dans le cadre de la mise en œuvre d’un nouveau Programme.

 

Reçu en audience mercredi 20 novembre 2024, une Haute Délégation de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), dirigée par Claude Yao Kuame, Directeur de l’équipe d’appui technique du BIT pour le travail décent en Afrique centrale, a échangé avec les membres du gouvernement parmi lesquels la Direction des Finances, de la Planification et du Développement Économique, dirigée par le ministre Iván Bacale Ebe Molina, avec le ministre du Travail et de la Promotion de l’Emploi, Alfredo Mitogo Mitogo Ada, le vice-ministre des Finances, Pedro Abeso Obiang Eyang et le secrétaire d’État en chargé des Budgets, Justo Ngomo Nnegue, ainsi que le Secrétaire Général, Ambrosio Esono Angue.

Il était question pour le directeur de cette organisation Claude Yao Kuame de souligner  la disponibilité de leur Organisation Internationale pour travailler avec les autorités locales dans le cadre de la mise en œuvre d’un nouveau Programme avec le Gouvernement équato-guinéen. Kuame a également évoqué la question du projet PASPA et du projet « Impulsion professionnelle », réitérant la disponibilité de l’OIT pour accompagner le pays dans sa mise en œuvre, en plus d’autres questions abordées.

Selon le chef de la délégation comme relayé sur le site d’Ahora Eg, l’objectif de cette réunion était de donner une continuité aux conclusions tenues au mois de juillet de cette année 2024, lors de la visite officielle du directeur général de l’OIT, Gilbert F. Houngbo, en Guinée équatoriale. Pour leur part, les membres du gouvernement, en plus de féliciter l’initiative PASPA, ont profité de l’occasion pour exprimer leur préoccupation face au manque de personnel équato-guinéen au sein de cette Organisation, ainsi qu’à l’absence de ses bureaux de représentation dans le pays, précisant que ces aspects représentent une claire limitation pour le pays en ce qui concerne les avantages en tant que membre.